Sortie OVS samedi 19 04 2014
Nous avons de la chance la grande salle qui avait été fermée au petit palais, est rouverte et nous découvrons les immenses tableaux qui ont été accroché depuis
C’est gentil de renouveler les tableaux on commençait à tous les avoir dessiné
J’ai pris une partie d’un grand tableau que je ferais avec mes pastels aquarelles
LA PARADE DES HUMBLES
je choisi de peindre les clowns de ce triste cirque cela devais être un spectacle triste misérable, une mascarade pour le plaisir de ceux qui viennent les voir.
on voit à travers ces personnages qu'ils passent toute une vie de labeur dans ce lieu.
ils font partis du cirque, tel ces animaux de foire habillés de paillettes
un sourire triste sur leur lèvres maquillées.
peintrefiguratif(Raymonde)
Nous avons de la chance la grande salle qui avait été fermée au petit palais, est rouverte et nous découvrons les immenses tableaux qui ont été accroché depuis
C’est gentil de renouveler les tableaux on commençait à tous les avoir dessiné
J’ai pris une partie d’un grand tableau que je ferais avec mes pastels aquarelles
LA PARADE DES HUMBLES
je choisi de peindre les clowns de ce triste cirque cela devais être un spectacle triste misérable, une mascarade pour le plaisir de ceux qui viennent les voir.
on voit à travers ces personnages qu'ils passent toute une vie de labeur dans ce lieu.
ils font partis du cirque, tel ces animaux de foire habillés de paillettes
un sourire triste sur leur lèvres maquillées.
peintrefiguratif(Raymonde)
Fernand Pelez au Petit Palais
on découvre alors une obsession paternaliste pour les pauvres, notamment les enfants, cadets du Jeune Mendiant de Murillo et grand frères des Poulbot et du Kid de Chaplin. Mendiants et souffreteux abondent pour accuser, en silence ou dans un désordre carnavalesque, la IIIe République. Cette grandiloquence a son côté grimaçant à la James Ensor auquel Pelez ressemble physiquement (on le surnommait l'Hidalgo des Batignolles). Mais le plus souvent elle plonge dans une obscénité kitsch. Comme L'Asphyxiée, cette belle morte allongée sur le sol, victime des émanations de son poêle. Ses lèvres ont viré au même parme que son bustier.
Marchands de violettes, mères jetées à la rue, colporteurs accablés et hommes faméliques semblent chanter en chœur le traumatisme de la Commune. Il y a « de la boue dans son pinceau », a écrit l'académicien humaniste Émile Henriot. Formule séduisante. Reste que tant de morbidité et de défaitisme finit par écœurer. Et le thème des petits rats de l'Opéra, traité avant Degas et qui fait l'objet de la section finale du parcours, ne suffit pas à éclairer cette veine trop miséricordieuse pour demeurer touchante.
Bonjour Raymonde, ton tableau fait ressortir le contraste entre ce que veulent montrer les clowns, un semblant de gaîté, alors que derrière toutes ces paillettes, ils essayent de gagner leur vie bien difficilement et ont un visage triste. Je vois que tu as été contente de votre sortie où des tableaux nouveaux ont été accrochés. Bises
RépondreSupprimerBonjour Raymonde
RépondreSupprimeret comme on lis vraiment bien sur ton aquarelle la tristesse dégagée par leur visage...
j'ai toujours trouvé les clowns tristes...
la vie ne devait pas y être une sinécure
merci pour ton com Raymonde et je te souhaite une bonne journée
bisous *
Bonjour , tu les a bien croqué tes personnages,..bonne journée,avec le soleil.
RépondreSupprimerUn parfait copier-coller, ton oeil et ta main ont fait le reste Raymonde ! Gros bisous
RépondreSupprimerLa musique et la représentation peuvent commencer ;) Bonne journée Raymonde (:-*
RépondreSupprimerMarrante cette Grenouille :-)
RépondreSupprimerCa change des tableau habituels
Gros bisous Raymonde
bonjour Raymonde toujours un sujet different et toujours aussi joli bisous
RépondreSupprimerMarcel
reconnais qu'il n'y a pas tant de peintres intéressés par la pauvreté, non? Pas très beau , en général, la pauvreté...Donc, je lui tire mon chapeau!
RépondreSupprimerUne belle reproduction
RépondreSupprimerA bientôt
c'est du très bon travail
RépondreSupprimermerci pour les explications de ce thème
Je te souhaite une agréable soirée
Prends bien soin de toi
Gros bisous ensoleillés
l'île penotte où je suis allée hier en flânant vers les ruelles,c'est artistique
RépondreSupprimerles clown en tableau paraissent toujours triste ,bises
RépondreSupprimersouvent au cirque je trouvais que les personnages étaient fatigues! peut-~etre que j'imaginais combien ils devaient répéter leurs exercices pour les montrer au public, alors souvent ils devaient avoir marre de répéter la même chose pour attendre les applaudissements
RépondreSupprimerc'est vrai qu'au travail c'est souvent les répétitions
bonne fin de soirée
bisous pour toi
Angie
Un sujet superbe ma Raymonde et tu as réussi un beau croquis aquarelle. Tu as su croquer ces personnages à merveille. Merci pour ces explications. Bises et bon vendredi. ZAZA
RépondreSupprimersalut
RépondreSupprimerc'est joli cette réplique en aquarelle
bonne journée
Pauvre clown triste mais ils sont presque toujours triste en contraste avec ce qu'il font dans leur spectacle. Joli travail tu les as bien réussis.
RépondreSupprimerGros bisous
C'est vrai quelle tristesse dans ces clowns mais ton rendu est superbe, bisous Jacqueline
RépondreSupprimerTu as su donner toute la tristesse de ces clowns ! Très réussi, bravo !
RépondreSupprimerBonne soirée - bisous
Monelle
Tu as bien rendu ces clowns un peu tristes. Bisous
RépondreSupprimerma préférée de tes dernières productions
RépondreSupprimerBonjour Raymonde. Il est vrai que tu en as dessiné pas mal, mais tu as encore de la marge. C'est encore une scène très réaliste où tu réussis bien. Tu rends bien les personnages, apparemment gais, mais qui intérieurement ont leurs souffrances et leurs difficultés avec la vie.
RépondreSupprimerCes pauvres cirques ont aussi donné un peu de joie aux populations démunies de la IIIéme république. Il n en fallait pas beaucoup pour les faire rire, tous ces ouvriers souvent rivés à leurs machines pendant des longues heures. Tu as bien réussit au travers de ton aquarelle à faire revivre ces personnages qui ne recevaient souvent pour salaire que des applaudissements.
RépondreSupprimerAmicalement Raymonde
Latil