Croquis au musée du petit palais 06 12 2014
Mon choix se porte sur une statue de femme couchée dont le corps n'a pas une position très facile à reproduire
ce croquis sera fait au crayon pastel sec
Bacchante couchée Jean-Baptiste Clesinger, dit Auguste Clesinger
Au Salon de 1847, la Femme piquée par un serpent (Musée d’Orsay) du jeune Clesinger fait scandale.
Les critiques attaquent l’oeuvre tant sur le plan moral que technique. L’indécence du sujet - une femme nue se tordant sur un lit de roses, un serpent s’enroulant autour de son poignet -, est en effet rehaussé par le traitement exagérément réel des chairs, inspiré dit-on d’un moulage sur nature des formes généreuses d’Apollinie Sabatier, célèbre demi-mondaine amie des artistes romantiques.
Pour apporter un démenti à cette dernière accusation, Clesinger sculpte dès la fin de l’année 1847 cette Bacchante couchée, variante un peu plus grande que nature de la Femme piquée par un serpent. L’œuvre exposée au Salon de 1848 est ainsi commentée par Théophile Gautier, romancier et critique d’art proche de Mme Sabatier : « c’est le pur délire orgiaque, la Ménade échevelée qui se roule aux pieds de Bacchus, le père de liberté et de joie […] Un puissant spasme de bonheur soulève par sa contraction l’opulente poitrine de la jeune femme, et en fait jaillir les seins étincelants… ». Il conclut son article en l’appelant « un des plus beaux morceaux de la sculpture moderne ».
Le terme « moderne » nous étonne aujourd’hui : il désigne sans doute à la fois l’approche réaliste du sculpteur et l’exagération proprement romantique du mouvement de torsion.
La Bacchante obtient une médaille de première classe et procure au sculpteur le titre de Chevalier de la Légion d’honneur, sans pour autant faire l’unanimité dans la critique.
Lors de sa présentation à l’Exposition universelle de 1851, le jury anglais déplorera une imagination « pervertie, mise au service d’une sensualité de bas étage ».
En sortnat par le jardin nous avons eu la chance de voir une exposition de photo sur
AZERBAIDJIAN ..REZA Photojournaliste
Peintrefiguratif(Raymonde)
Mon choix se porte sur une statue de femme couchée dont le corps n'a pas une position très facile à reproduire
ce croquis sera fait au crayon pastel sec
Bacchante couchée Jean-Baptiste Clesinger, dit Auguste Clesinger
Au Salon de 1847, la Femme piquée par un serpent (Musée d’Orsay) du jeune Clesinger fait scandale.
Les critiques attaquent l’oeuvre tant sur le plan moral que technique. L’indécence du sujet - une femme nue se tordant sur un lit de roses, un serpent s’enroulant autour de son poignet -, est en effet rehaussé par le traitement exagérément réel des chairs, inspiré dit-on d’un moulage sur nature des formes généreuses d’Apollinie Sabatier, célèbre demi-mondaine amie des artistes romantiques.
Pour apporter un démenti à cette dernière accusation, Clesinger sculpte dès la fin de l’année 1847 cette Bacchante couchée, variante un peu plus grande que nature de la Femme piquée par un serpent. L’œuvre exposée au Salon de 1848 est ainsi commentée par Théophile Gautier, romancier et critique d’art proche de Mme Sabatier : « c’est le pur délire orgiaque, la Ménade échevelée qui se roule aux pieds de Bacchus, le père de liberté et de joie […] Un puissant spasme de bonheur soulève par sa contraction l’opulente poitrine de la jeune femme, et en fait jaillir les seins étincelants… ». Il conclut son article en l’appelant « un des plus beaux morceaux de la sculpture moderne ».
Le terme « moderne » nous étonne aujourd’hui : il désigne sans doute à la fois l’approche réaliste du sculpteur et l’exagération proprement romantique du mouvement de torsion.
La Bacchante obtient une médaille de première classe et procure au sculpteur le titre de Chevalier de la Légion d’honneur, sans pour autant faire l’unanimité dans la critique.
Lors de sa présentation à l’Exposition universelle de 1851, le jury anglais déplorera une imagination « pervertie, mise au service d’une sensualité de bas étage ».
En sortnat par le jardin nous avons eu la chance de voir une exposition de photo sur
AZERBAIDJIAN ..REZA Photojournaliste
Peintrefiguratif(Raymonde)
très belle peinture Raymonde qui appèle au printemps, aux forces de la nature qui renait pour porter ses fruits dans un très proche futur
RépondreSupprimerça me plait beaucoup!
bisous, bon weekend
Angie
Ah me coucher dans les foins
RépondreSupprimerAvec le soleil pour témoin
Mais qu'Est-ce donc qui a glissé sous moi
Mon dieu de me meurt de la piqure d'un serpent
Adieu
Belle réalisation
Bisous ma belle
Bonsoir Raymonde,
RépondreSupprimerIl est vrai que le sujet n'est pas facile. Mais vous avez su rendre toute la sensualité de la pose.
Merci pour le partage de l'exposition photos. Elle avait l'air superbe!
Je suis en train de peindre un double carré: 50x100. des raisins dans une ambiance onirique. Lorsqu'elle sera terminée je la posterai sur mon blog. Peut-être à la fin du mois?
Bises
Martine
Très délicate sur son lit printanier
RépondreSupprimerBON DIMANCHE
salut
RépondreSupprimerun très beau pastel où l'on remarque une belle poitrine
ce doit être intéressant l'exposition d'après ce que je vois des photos
bonne semaine
C'que les gens étaient prudes par devant et vicelard par derrière
RépondreSupprimerGros bisous endimanchés Raymonde
Bonjour ,un beau pastel, mais une femme torturée par la douleur,c'est atroce.bon dimanche ,il fait beau ,faut en profiter.bises.
RépondreSupprimerune très belle exposition !
RépondreSupprimerSuperbe pastel sec ma Raymonde. Merci pour tes explications concernant ce tableau de Clesinger. De belles photos de cette expo d'AZERBAIDJIAN ..REZA. Bises et bon dimanche. ZAZA
RépondreSupprimerBonjour Raymonde
RépondreSupprimeren effet elle n'est pas dans une position de plus facile..chapeau
intéressant et je découvre
bon dim a toi
bisous *
Coucou Raymonde, jolie ta statue aux seins généreux ! J'ai cherché le serpent, en vain. Gros bisous
RépondreSupprimerBonjour
RépondreSupprimerCes tableaux sont magnifiques!!
Le tien est aussi superbe!
Bisous
Bonjour Raymonde. Le débit internet est trop faible ici et je ne vois pas toutes tes photos, ni ton pastel. Dommage... Bisous
RépondreSupprimerCouchée sur l'herbe, bercée par un léger souffle de vent et réchauffée âr un timide rayon de soleil ;)
RépondreSupprimerBonne soirée Raymonde (:-*
une position originale pour cette femme ..... bonne soirée Raymonde
RépondreSupprimerBonjour Raymonde c'est une belle visite a faire on y trouver de jolies choses bonne semaine bisous
RépondreSupprimerMarcel
Bonjour Raymonde, malgré la difficulté de reproduire cette statue, tu as réussi une très belle reproduction... excellent début de semaine, bisous.
RépondreSupprimerintéressante cette exposition
RépondreSupprimerc'est très beau
RépondreSupprimerbelle peinture
belle balade aussi
je te souhaite une très belle semaine
portes toi bien
gros bisous créoles
Je dis encore comme d'habitude : c'est superbe !
RépondreSupprimerJe te suis et article après article je visite, à l'aide de tes photos !
Très joli ton croquis qui débute cet article!
Cordiales amitiés & à +
Une pose bien lascive pour cette bacchante.
RépondreSupprimerL'exposition photo avait l'air bien belle.
Bise.
Philippe.
toujours aussi ressemblante tes reproduction , je te souhaite une bonne soirée Raymonde
RépondreSupprimerElle a l'air chouette, cette expos Reza!
RépondreSupprimer