Croquis au petit palais 15 11 2014
J’ai déjà fait des croquis de ce peintre
Ces personnages sont typiques de la pauvreté de cette époque
Que l’on retrouve de plus en plus dans nos rues depuis quelques temps
Peintrefiguratif(Raymonde)
http://asso.atelierdartistes.fr/index.php/14-a-voir-a-faire
FERNAND PELEZ DE CORDOVA
Elevé dans le quartier des Batignolles auprès d’un père artiste illustrateur, Pelez étudie à l’école des Beaux-arts, Il est nommé professeur de dessin dans une école de la Ville de Paris.
Il débute comme peintre d’Histoire au Salon de 1866. De cette première époque datent La Mort de l’Empereur Commode (musée de Béziers) et Adam et Eve (musée de Moulins). Ensuite il a centré son œuvre sur les figures du Paris populaire qu’il côtoyait à Montmartre où il installa son atelier : Femmes, enfants, clowns et acrobates, jeunes danseuses de l’Opéra offrent leurs figures ingénues ou lasses à l’imaginaire picaresque de ce peintre des humbles.
Les toiles se succèdent, elles captent la misère au coin des rues : le petit marchand d’oranges, le vendeur de violettes ; sur les visages, la fatigue, la faim… Il faut voir le Saltimbanque, immense toile où, sous les oripeaux du cirque, sous les grimaces, les costumes de piste se cachent la désolation des pitres, les hontes des parias, le désespoir des Paillasse.
C’est magnifique, c’est émouvant, mais Pelez ne connut jamais le succès… La société n’aime pas trop voir l’envers de son décor, surtout quand celui-ci est peuplé de malheur et d’accablement…
J’ai déjà fait des croquis de ce peintre
Ces personnages sont typiques de la pauvreté de cette époque
Que l’on retrouve de plus en plus dans nos rues depuis quelques temps
Peintrefiguratif(Raymonde)
http://asso.atelierdartistes.fr/index.php/14-a-voir-a-faire
FERNAND PELEZ DE CORDOVA
Elevé dans le quartier des Batignolles auprès d’un père artiste illustrateur, Pelez étudie à l’école des Beaux-arts, Il est nommé professeur de dessin dans une école de la Ville de Paris.
Il débute comme peintre d’Histoire au Salon de 1866. De cette première époque datent La Mort de l’Empereur Commode (musée de Béziers) et Adam et Eve (musée de Moulins). Ensuite il a centré son œuvre sur les figures du Paris populaire qu’il côtoyait à Montmartre où il installa son atelier : Femmes, enfants, clowns et acrobates, jeunes danseuses de l’Opéra offrent leurs figures ingénues ou lasses à l’imaginaire picaresque de ce peintre des humbles.
Les toiles se succèdent, elles captent la misère au coin des rues : le petit marchand d’oranges, le vendeur de violettes ; sur les visages, la fatigue, la faim… Il faut voir le Saltimbanque, immense toile où, sous les oripeaux du cirque, sous les grimaces, les costumes de piste se cachent la désolation des pitres, les hontes des parias, le désespoir des Paillasse.
C’est magnifique, c’est émouvant, mais Pelez ne connut jamais le succès… La société n’aime pas trop voir l’envers de son décor, surtout quand celui-ci est peuplé de malheur et d’accablement…
C'est très ressemblant , félicitations
RépondreSupprimerTu as raison, scène que l'on voit trop souvent au coin des rues !!
RépondreSupprimerBonne journée - bisous
Monelle
Bonjour Raymonde
RépondreSupprimeril;est très réussi on voit bien la tristesse sur leur visage ...
bon WE Raymonde
bisous *
Ces très beau ma Raymonde. Je ne connaissais pas ce peintre. Bises et bonne soirée. ZAZA
RépondreSupprimerComme à chaque visite
RépondreSupprimerj'ai le plaisir de découvrir de beaux croquis
Cordiales amitiés & à +
Bonsoir Raymonde,
RépondreSupprimerje ne me souviens pas de ce peintre.
Tu as bien rendu l'ambiance dure et miséreuse. Cette femme est très émouvante.
Bravo Raymonde
Bises
Martine
Beau rendu de la misère mise en scène par ce peintre
RépondreSupprimerBisous
bonsoir Raymonde
RépondreSupprimerun poètique coucou du troubadour bon dimanche à venir et A+ d' Emmanuel
je ressens de la tristesse et misère dans cette oeuvre
RépondreSupprimersalut
RépondreSupprimerun beau dessin mais que c'est triste
bonne semaine
Très jolie aquarelle ;) mais la pauvreté et la misère , quelque soit l'époque me fait toujours mal au coeur .
RépondreSupprimerBon dimanche Raymonde (;-*
Bonjour Raymonde, très réussi ton croquis, mais c'est trop triste et cependant il faut bien accepter ces tableaux dans nos rues, hélas. Bises et bon dimanche
RépondreSupprimerBonjour Raymonde. Ta peinture est beaucoup plus gaie que celle de Pelez. Bisous
RépondreSupprimerBonjour Raymonde, je ressens bien la désolation de cette famille face à ses difficultés, une très belle représentation ! A bientôt, gros bisous.
RépondreSupprimerJe passe te dire bonsoir
RépondreSupprimerBisous
on dirait une photo cette peinture, c'est bluffant !
RépondreSupprimerdéjà vue pas loin de chez moi ,belle aquarelle ,bisous du soir
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